que
nous allons, par ailleurs, recenser bientôt dans la webographie
française sur notre site Cornelius Castoriadis / Agora International
pour nos 2.200+ abonné(e)s. C’est Cédric Faure lui-même qui a eu la
gentillesse de me fournir votre adresse électronique.
À la fin de
l’article, il est noté : “Pour aller plus loin, vous pouvez visiter le
site du collectif Lieux communs, le site de l’Association Castoriadis ou
ce site consacré au philosophe”.
Au début, theconversation.com a
écrit “ce site anglophone”, ce qui n’est pas correct : notre site
Cornelius Castoriadis / Agora International n’est pas exclusivement un
“site anglophone”, comme indiqué en bas du texte, parce que nous avons
des bibliographies et webographies maintenant en 19 langues, dont le
français. Nous sommes très reconnaissants que cette erreur,
“anglophone” a été déjà corrigé en supprimant ce mot.
Pourtant,
vous citez les sites du Collectif Lieux Communs et de l’Association
Cornelius Castoriadis nommément, mais pas la nôtre. Auriez-vous la
gentillesse de nous traiter comme les deux autres sites, en mentionnant
plutôt “le site Cornelius Castoriadis / Agora International” au lieu de,
assez bizarrement, simplement “ce site”.
Finalement,
permettez-moi de vous signaler que, pour un article francophone comme
celle de Cédric Faure, c’est plus utile, pour les lecteurs francophones,
de créer un hyperlien à la page d’accueil française de notre site : http://agorainternational.org/fr/index.html , au lieu de la page d’accueil anglophone : http://www.agorainternational.org/
En attendant votre réponse, je vous prie, Madame, d’agréer mes salutations les meilleures.
Enseignant et Chercheur au Laboratoire de Changement Social
et Politique (LCSP), actuellement Chercheur invité au SHERPA (Montréal),
Université Paris Diderot – USPC
Une réponse bien curieuse, Cédric, sur un site qui s’appelle
“laconversation.com”. Pourquoi cette violence en paroles, ce désir de
m’exclure, cette tentative désespérée d’attaquer ma bonne foi et mon
sérieux, alors que j’ai travaillé étroitement avec Castoriadis les
treize dernières années de sa vie, publiant plus d’un million de mots de
ses écrits en traduction anglaise (“David [Ames Curtis] est un
traducteur comme on en rencontre rarement, consciencieux à l'extrême,
vérifiant inlassablement tout ce qu'il fait, n'hésitant jamais à
demander l'avis des auteurs sur ce qui peut poser problème dans les
textes sur lesquels il travaille. Il a maintenant traduit six volumes de
mes écrits, qui ont été publiés par la University Press of Minnesota,
par la Oxford University Press, par la Stanford University Press et par
Blackwell’s. Pierre Vidal-Naquet, dont il a également traduit et publié
plusieurs ouvrages et qui, philologue de métier, est d'une exigence
scolastique sur l'exactitude et la précision des expressions, ne tarit
pas d'éloges sur son compte.” – Cornelius Castoriadis, 19 juillet 1997)
et menant à bon, avec son soutien, un travail sérieux et bénévole en
collaboration avec des bibliographes-webographes maintenant en 18
langues depuis 20 ans sur le site Cornelius Castoriadis / Agora
International http://agorainternational.org/fr/index.html
? Christian Delacampagne a écrit (Le Monde, 22 décembre 2000) : “En
Amérique [la pensée de Castoriadis] bénéficie, en la personne de David
Ames Curtis, d'un remarquable traducteur” http://www.lemonde.fr/archives/article/2000/12/22/cornelius-castoriadis-et-l-esprit-d-utopie_3708501_1819218.html#xz6b5Z6ASKlBwqs6.99"
Ci-dessous,
ce que je t’ai envoyé en réponse à ta précédente communication,
violente - qui prônait, auprès des organisateurs de ce site
“theconversation.com”, la censure envers moi :
Cher Cédric :
Merci
de ta réponse, qui me semble une réaction exagérée (overreaction) par
rapport à mes intentions, bien moins méchantes que ton interprétation.
J’ai
écrit trois fois directement à Mme Zannad, à ta suggestion, et elle ne
m’en a même pas accusé réception. C’est pour ça que j’ai envoyé la même
chose comme commentaire pour cette page web de “laconversation”. Je
vois que, sans le moindre état d’âme, elle vient d’apporter les
corrections poliment demandées - et sans exercer la censure que tu
réclames maintenant.
Pourquoi cette interprétation bizarre de ma
demande polie de citer correctement un site (Cornelius Castoriadis /
Agora International) pour que les gens puissent savoir ce que c’est ?
Pourquoi serait-elle de faire de la “publicité” ? C’est maintenant la
seule façon imaginable de communiquer dans ce monde (commercial), la
“publicité” ? Partager des informations d’une manière participatoire,
“grassroots” et non hiérarchique (2.200+ individus et organisations
partagent ces informations sans la moindre censure) dans le but d’aider
les gens à faire avancer eux-mêmes le projet d’autonomie sous toutes ces
formes, ça c’est ce dont il s’agit. Notre site n’est pas commercial,
et dans un sens plus large, la “publicité” (offenlichkeit), c’est rendre
public des informations utiles.
Je n’ai pas dit que tu sois
“obligé” de mentionner le nom du site Agora International. J’ai essayé
de faire valoir que, si une page web cite un site (Association
Castoriadis) par nom, il n’est pas correct, pour un universitaire, de
manquer à citer le nom de l’autre site dont tu fais allusion. N’étant
pas universitaire moi-même, je suis désolé de me voir “obligé”,
justement, de leur faire rappeler si souvent des règles élémentaires
concernant des citations, etc.
J’espère que cette pique de
réaction à mon effort sincère va dissiper après ma réponse. En relisant
mes remarques, je vois que j’aurais dû écrire “une correction à faire
sur cette page” au lieu de “une correction à faire dans ce texte”. Je
te prie de m’excuser de mon manque de précision. Si Mme Zannad veut
corriger mon petit commentaire ainsi, je ne vois pas d’objection. C’est
en partageant des points de vue, parfois différents, que nous arrivons à
une meilleure compréhension de la vérité.
J’espère que, cette
pique de réaction dissipée, tu citeras encore notre site lorsque tu
parles de Castoriadis et / ou Socialisme ou Barbarie, pour que tes
lecteurs peuvent en avoir connaissance et accès. Un universitaire
honnête ne supprime pas des informations utiles et pertinentes et ne
demande pas la censure.
David Ames Curtis
inscrit via Google
CORRECTION SVP
Permettez-moi de vous signaler une correction à faire dans ce texte sur votre site :
http://theconversation.com/oublier-castoriadis-75108 Cédric Faure. “Oublier Castoriadis?” (April 4, 2017).
que nous allons, par ailleurs, recenser bientôt dans la webographie française sur notre site Cornelius Castoriadis / Agora International pour nos 2.200+ abonné(e)s. C’est Cédric Faure lui-même qui a eu la gentillesse de me fournir votre adresse électronique.
À la fin de l’article, il est noté : “Pour aller plus loin, vous pouvez visiter le site du collectif Lieux communs, le site de l’Association Castoriadis ou ce site consacré au philosophe”.
Au début, theconversation.com a écrit “ce site anglophone”, ce qui n’est pas correct : notre site Cornelius Castoriadis / Agora International n’est pas exclusivement un “site anglophone”, comme indiqué en bas du texte, parce que nous avons des bibliographies et webographies maintenant en 19 langues, dont le français. Nous sommes très reconnaissants que cette erreur, “anglophone” a été déjà corrigé en supprimant ce mot.
Pourtant, vous citez les sites du Collectif Lieux Communs et de l’Association Cornelius Castoriadis nommément, mais pas la nôtre. Auriez-vous la gentillesse de nous traiter comme les deux autres sites, en mentionnant plutôt “le site Cornelius Castoriadis / Agora International” au lieu de, assez bizarrement, simplement “ce site”.
Finalement, permettez-moi de vous signaler que, pour un article francophone comme celle de Cédric Faure, c’est plus utile, pour les lecteurs francophones, de créer un hyperlien à la page d’accueil française de notre site : http://agorainternational.org/fr/index.html , au lieu de la page d’accueil anglophone : http://www.agorainternational.org/
En attendant votre réponse, je vous prie, Madame, d’agréer mes salutations les meilleures.
David Ames CurtisAgora InternationalE-MAIL: curtis@msh-paris.frSKYPE: davidamescurtisCornelius Castoriadis/Agora International WebsiteURL: http://agorainternational.org/fr/index.htmlURL: https://kaloskaisophos.org/rt/rtdac/rtdac.html
Sonia Zannad
Chef de rubrique Culture / Social media manager, The Conversation
Cher David, les corrections ont été apportées. merci de l'intérêt que vous portez à notre site!
David Ames Curtis
inscrit via Google
Merci beaucoup ! Je vais jeter un coup d'oeil sur le reste de votre site qui favorise les conversations.
Cédric Faure
Enseignant et Chercheur au Laboratoire de Changement Social et Politique (LCSP), actuellement Chercheur invité au SHERPA (Montréal), Université Paris Diderot – USPC
Va poster ailleurs Curtis et oublie un peu ceux qui travaillent sérieusement sur l'œuvre de Castoriadis.
David Ames Curtis
inscrit via Google
Une réponse bien curieuse, Cédric, sur un site qui s’appelle “laconversation.com”. Pourquoi cette violence en paroles, ce désir de m’exclure, cette tentative désespérée d’attaquer ma bonne foi et mon sérieux, alors que j’ai travaillé étroitement avec Castoriadis les treize dernières années de sa vie, publiant plus d’un million de mots de ses écrits en traduction anglaise (“David [Ames Curtis] est un traducteur comme on en rencontre rarement, consciencieux à l'extrême, vérifiant inlassablement tout ce qu'il fait, n'hésitant jamais à demander l'avis des auteurs sur ce qui peut poser problème dans les textes sur lesquels il travaille. Il a maintenant traduit six volumes de mes écrits, qui ont été publiés par la University Press of Minnesota, par la Oxford University Press, par la Stanford University Press et par Blackwell’s. Pierre Vidal-Naquet, dont il a également traduit et publié plusieurs ouvrages et qui, philologue de métier, est d'une exigence scolastique sur l'exactitude et la précision des expressions, ne tarit pas d'éloges sur son compte.” – Cornelius Castoriadis, 19 juillet 1997) et menant à bon, avec son soutien, un travail sérieux et bénévole en collaboration avec des bibliographes-webographes maintenant en 18 langues depuis 20 ans sur le site Cornelius Castoriadis / Agora International http://agorainternational.org/fr/index.html ? Christian Delacampagne a écrit (Le Monde, 22 décembre 2000) : “En Amérique [la pensée de Castoriadis] bénéficie, en la personne de David Ames Curtis, d'un remarquable traducteur” http://www.lemonde.fr/archives/article/2000/12/22/cornelius-castoriadis-et-l-esprit-d-utopie_3708501_1819218.html#xz6b5Z6ASKlBwqs6.99"
Ci-dessous, ce que je t’ai envoyé en réponse à ta précédente communication, violente - qui prônait, auprès des organisateurs de ce site “theconversation.com”, la censure envers moi :
Cher Cédric :
Merci de ta réponse, qui me semble une réaction exagérée (overreaction) par rapport à mes intentions, bien moins méchantes que ton interprétation.
J’ai écrit trois fois directement à Mme Zannad, à ta suggestion, et elle ne m’en a même pas accusé réception. C’est pour ça que j’ai envoyé la même chose comme commentaire pour cette page web de “laconversation”. Je vois que, sans le moindre état d’âme, elle vient d’apporter les corrections poliment demandées - et sans exercer la censure que tu réclames maintenant.
Pourquoi cette interprétation bizarre de ma demande polie de citer correctement un site (Cornelius Castoriadis / Agora International) pour que les gens puissent savoir ce que c’est ? Pourquoi serait-elle de faire de la “publicité” ? C’est maintenant la seule façon imaginable de communiquer dans ce monde (commercial), la “publicité” ? Partager des informations d’une manière participatoire, “grassroots” et non hiérarchique (2.200+ individus et organisations partagent ces informations sans la moindre censure) dans le but d’aider les gens à faire avancer eux-mêmes le projet d’autonomie sous toutes ces formes, ça c’est ce dont il s’agit. Notre site n’est pas commercial, et dans un sens plus large, la “publicité” (offenlichkeit), c’est rendre public des informations utiles.
Je n’ai pas dit que tu sois “obligé” de mentionner le nom du site Agora International. J’ai essayé de faire valoir que, si une page web cite un site (Association Castoriadis) par nom, il n’est pas correct, pour un universitaire, de manquer à citer le nom de l’autre site dont tu fais allusion. N’étant pas universitaire moi-même, je suis désolé de me voir “obligé”, justement, de leur faire rappeler si souvent des règles élémentaires concernant des citations, etc.
J’espère que cette pique de réaction à mon effort sincère va dissiper après ma réponse. En relisant mes remarques, je vois que j’aurais dû écrire “une correction à faire sur cette page” au lieu de “une correction à faire dans ce texte”. Je te prie de m’excuser de mon manque de précision. Si Mme Zannad veut corriger mon petit commentaire ainsi, je ne vois pas d’objection. C’est en partageant des points de vue, parfois différents, que nous arrivons à une meilleure compréhension de la vérité.
J’espère que, cette pique de réaction dissipée, tu citeras encore notre site lorsque tu parles de Castoriadis et / ou Socialisme ou Barbarie, pour que tes lecteurs peuvent en avoir connaissance et accès. Un universitaire honnête ne supprime pas des informations utiles et pertinentes et ne demande pas la censure.
Continuons “la conversation”.
Sincèrement,
David